🟪 Pratiquer l'espoir comme on jardine

La culture self-made, la pratique de l'espoir et le podcast Écosystème dans vos oreilles

Technoculture
5 min ⋅ 16/06/2025

Hello,

Ça fait un petit moment !


Comment allez-vous ?

J’ai rendu la première version de mon prochain livre fin mai, j’ai enchaîné avec quelques jours de congés dans le sud et outre-manche, et pour toutes ces raisons, me voici débarquant dans vos mails avec deux semaines de retard sur le rythme classique. Je ne sais pas comment se passera l’été, mais il y a des chances que le programme habituel de Technoculture ne reprenne qu’à la rentrée.

Cela dit, si cette version très axée sur les recommandations vous plaît, partagez-là autour de vous ! Vous êtes 820 à me lire, et si on arrivait à dépasser les 1 000 dans les prochains mois, ce serait un joli palier !

D’ici là, quelques petites choses que je voudrais vous partager :

» Des réflexions en liens «

À suivre l’état politique et environnemental de la planète, je me demande parfois si l’instinct de conservation de l’humanité n’est pas mort. A priori, pas du tout. Près de 7 personnes sur 10 sont prêtes à verser 1% de leurs salaires pour soutenir l’action climatique, selon une étude menée dans 125 pays auprès de 130 000 personnes. 89 % de la population mondiale veut plus d’action politique pour protéger le climat. Quasiment 9 sur 10 ! Ce n’est pas la volonté de nous protéger qui manque, c’est la conscience du fait que nous ne sommes pas seul·es qui peine à émerger. Pour que le public réalise cet élan partagé, the Guardian, l’AFP et quantité d’autres médias à travers le monde ont lancé le 89 % Project, aux côtés de l’ONG Covering Climate Now. Allez regarder, c’est plein d’outils et d’infos importantes.

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Par Mathilde Saliou

Journaliste spécialisée dans le numérique et autrice de L’Envers de la Tech, Ce que le numérique fait au monde (Les Pérégrines, 2025) et Technoféminisme, comment le numérique aggrave les inégalités (Grasset, 2023).

De 2020 à 2022, j’ai été secrétaire générale de l’association Prenons la Une, qui vise à une meilleure représentation des femmes dans les médias et dans les rédactions. En lien avec l’association Nothing 2 Hide, j’y ai créé et animé une formation de sensibilisation au cyberharcèlement contre les journalistes.

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